Tebboune et les radotages de bistrot (vidéo)

Approchez, Mesdames, Messieurs: il semblerait que vous ayez raté le plus beau numéro qui ait jamais été servi par « Tonton Tebboune », depuis sa mémorable conquête du palais El Mouradia le 19 décembre 2019. Un chef-d’œuvre pour lequel il mériterait le Prix Nobel dans le registre: « le conspirateur qui crie à la conspiration »!!

Honni soit qui mal y pense: ce n’est pas contre le Maroc que la « Fakhama », une fois n’est pas coutume, s’est répandue en imprécations cette fois. Ce sont les Emirats arabes unis qui en ont pris pour leur grade. « Si vous cherchez à avoir les mêmes comportements que vous avez avec les autres (Cf : le Maroc), vous vous trompez », a-t-il lancé à l’adresse des EAU, accusés sans autre forme de procès de semer la « fitna » (en français, la division) dans la région.

 

 

MBZ n’a qu’à bien se tenir: Tebboune a invoqué 5. 630. 000 « chahids » (Martyrs) pour tenter de le dissuader. 

630. 000 Chahids supplémentaires viennent grossir la liste des 5 millions de « chahids » que Tebboune arbore, tel un trophée de guerre!, chaque fois qu’il veut faire peur… se faire peur… 

Le pacifisme est à la junte algérienne ce que la chasteté est pour la prostituée

La technique utilisée par le régime algérien est bien connue et elle est d’une perversité désarmante: accuser autrui de ce qu’on est soi-même responsable. Si un pays arabe sème la « Fitna », c’est bien l’Algérie. Pour s’en apercevoir, il n’est qu’à se demander qui abrite, finance et arme le « polisario » depuis un demi-siècle contre le Maroc; qui parraine les groupe jihadistes dans la région sahélo-saharienne, Aqmi et Daech confondus; qui déroule le tapis rouge pour les indépendantistes touaregs du Mali; qui complote contre la réconciliation inter-libyenne…

Même le peuple algérien n’a pas échappé à la prédation et à la tyrannie assassine de la junte. Qui a tué les 250.000 civils algériens pendant la tristement célèbre décennie noire (les années quatre-vingt-dix)?

Un pedigree qui ferait rougir de honte le pire des Bokassa-gueule-de-loup.