Sahara Oriental Marocain: un document déclassifié de la CIA jette cette vérité irréfutable à la face de la France et son ex-département nommé Algérie

Une nouvelle preuve, une de plus, à l’appui des revendications inaliénables du Maroc sur une grande partie de son Sahara oriental tronqué par l’ancienne puissance coloniale française au profit de l’Algérie. Et c’est l’agence de renseignement extérieur des États-Unis, la Central Intelligence Agency (CIA), qui jette la vérité à la face de l’ancien département français, l’Algérie. En effet, cette dernière reconnaît solennellement dans un document déclassifié la souveraineté pleine et entière du Maroc sur le Sahara oriental de Hassi Beida (province de Béchar) jusqu’à la ville de Tinjoub (sud de Mhamid Ghizlane) et tient la France, ancienne puissance coloniale, responsable de l’annexion de ce vaste territoire marocain à l’Algérie.

 

 

 

 

Dans ce document historique, la CIA rappelle qu’un accord avait été conclu en 1961 entre feu SM Hassan II et Ferhat Abbas, alors Premier ministre du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), pour restituer dès l’obtention de l’Algérie de son indépendance en 1ç62, ces territoires spoliés au Maroc mais que cet accord avait été renié par Ahmed Ben Bella, premier président de l’Algérie indépendante, ce qui a entraîné une première guerre entre le Maroc, et l’Algérie, la « Guerre des sables » en octobre 1963, qui n’a hélas pas permis le retour de ces territoires dans le giron marocain, malgré l’indéniable victoire des Forces armées royales. Les pressions politiques extérieures sur le Maroc avaient amené feu Hassan II à ordonner au général regretté Driss Benomar de battre en retraite alors que ses troupes étaient à deux doigts de reprendre Tindouf.

60 ans après cette guerre, l’Algérie continue de renier son engagement à restituer au Maroc ce vaste territoire riche en gaz et en pétrole, sous le prétexte du principe d' »intangibilité des frontières héritées du colonialisme ». Pire encore, elle continue de contester la souveraineté du Royaume sur ses provinces du sud, en finançant, abritant, armant et soutenant diplomatiquement la milice séparatiste du « polisario ».