Désavouée par l’ONU en tant que « défenseuse des droits de l’Homme », la dénommée Sultana Khaya, agent à la solde de l’Algérie, est invitée à un séminaire de propagande pro-séparatiste le 7 février au parlement européen.
Initié par Andreas Schieder, ancien secrétaire d’Etat autrichien aux Finances (2008-2013) devenu VRP de la thèse algéro-séparatiste au parlement européen, ce séminaire devrait offrir à la pseudo-« militante » l’occasion de ressasser ses allégations mensongères sur de soi-disant « violations des droits de l’Homme au Sahara », avec en toile de fond ce mauvais thriller de catégorie « dark romance » et au titre ronflant: « Marocgate »!
Il convient de souligner que l’initiative du très respectable député du parti social-démocrate autrichien (SPÖ), devenu en 2021 président de l’intergroupe parlementaire « Paix pour le peuple sahraoui » au Parlement européen, intervient après le cuisant camouflet infligé à la dénommée Sultana Khaya par la Rapporteuse spéciale de l’ONU sur la situation des défenseurs des droits de l’Homme, Mme Mary Lawlar. Cette dernière s’était en effet dessaisie du cas de l’imposteur Sultana après la confirmation par des experts onusiens de l’authenticité des photos montrant cette dernière en treillis militaire en arborant une Kalachnikov lors d’un déplacement dans les camps de Tindouf, où elle était formée au maniement des armes à feu.
L’intéressée recevait une subvention mensuelle algérienne de 4.300 euros, en sa qualité de présidente d’une officine nommée « ligue sahraouie pour la défense des droits de l’homme et la protection des richesses naturelles ».
Voilà le vrai visage de cette mercenaire qui ne sourcillait pas en appelant, depuis les camps du « mal » à Tindouf, à lancer des actions armées au Sahara marocain, y compris contre les civils.
Quant au parlement européen, il est consternant de constater qu’il est devenu une caisse de résonance des désidératas d’une junte algérienne perverse et malveillante.