Coupe du Monde des Clubs (Maroc-2022): une leçon d’humanité aux marchands de haine

Ceux qui pariaient sur une « réplique » marocaine aux slogans racistes ayant entaché le CHAN algérien, n’auront pas dormi. Les caporaux algériens, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, se seraient sûrement attendus à ce que les Marocains rendent « haine pour haine ». Ils ont eu « droit » plutôt à une leçon de civilisation, d’humanité, lors de la cérémonie d’ouverture de la Coupe du Monde des Clubs, qui a eu lieu hier mercredi 1er février au Grand Stade de Tanger.

 

 

D’Ibn Battûta l’explorateur à la légende du football Pelé ou encore « moul Niya » Walid Regragui, en passant par cet hommage ému et émouvant rendu par le public aux victimes de la tragédie du Stade Port-Said, en Egypte, le Maroc a su restituer à travers cette cérémonie haute en rythmes et en couleurs locales, son image typique de terre de rencontre et de tolérance.

 

 

On ne veut pas se hasarder à des parallèles inutiles entre le Maroc et l’Algérie, c’est simplement le jour et la nuit. Il y a loin des bâtisseurs aux démolisseurs, des jeteurs de ponts et des coupeurs de route, des rassembleurs et des semeurs de division, ceux qui créent l’espérance au bord du gouffre et ceux qui veulent précipiter l’espérance dans le gouffre…

Dima Maghrib…