Depuis 47 ans, Alger s’échine à bloquer toute issue au conflit autour du Sahara. Évidemment, non pour les beaux yeux du « peuple sahraoui », -dont le nombre -20.000 habitants- n’équivaut même pas à la population d’un seul arrondissement casablancais- exemple: Sidi Othman (187.748 habitants). L’acharnement algérien à maintenir le statu quo sur cette affaire montée de toutes pièces n’a d’égal que sa crainte de voir le Maroc relancer ses revendications sur une partie de son Sahara oriental tronqué par l’ancien colon français au profit de son ex-département algérien.
Pongamos un poco de orden histórico. Señores que organizaron el desastre colonial, devuelvan a Marruecos lo que le pertenece a nivel histórico y legal. Ya es hora de la verdad y la justicia pic.twitter.com/650Nr88EFz
— 𝗣𝗲𝗱𝗿𝗼 𝗜 𝗔𝗹𝘁𝗮𝗺𝗶𝗿𝗮𝗻𝗼 (@altamiranoMLG) November 11, 2022
« Mettons un peu d’ordre historique. Messieurs qui ont organisé le désastre colonial, rendez au Maroc ce qui lui appartient historiquement et juridiquement. Il est temps pour la vérité et la justice », a tweeté le politologue espagnol Pedro Altamirano, renvoyant ainsi dos à dos la France et son ancienne colonie algérienne.
La France est intimement convaincue de la marocanité de ces territoires (Tindouf, Colomb-Béchar, Kenadsa, Touat, entre autres) mais rechigne à reconnaître sa responsabilité dans la spoliation de ces territoires; pire encore, elle continue de faire le jeu d’Alger en s’abstenant de franchir tout pas… vers la reconnaissance de la marocanité du « Sahara occidental ».