À son crépuscule, la junte algérienne s’agite dans tous les sens pour faire oublier le naufrage dans lequel elle a précipité l’Algérie. Faire diversion et fabriquer des ennemis intérieurs et extérieurs… pour leurrer un peuple qui ne lâchera rien jusqu’au départ inéluctable des troufions sataniques.
Dans ce scénario dérivatif, le Maroc occupe une place centrale. Il serait responsable de tous les malheurs du régime algérien déclinant. Il est instrumentalisé d’une manière démentielle qui choque la communauté internationale.
Parmi les symptômes de cette psychose anti-marocaine… c’est la fixation inouïe sur les voies de communication terrestre entre le Maroc et les profondeurs africaines que la junte voudrait à tout prix saboter. En vain…
**Le syndrome de la « camionnite aiguë » chez les généraux algériens
Plus de 120 camions, de 35 tonnes, transportent chaque jour des produits marocains vers la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Mali, le Burkina Faso, le Togo, le Niger, le Nigéria…
Chaque camion marocain qui se dirige vers l’Afrique subsaharienne est considéré par les généraux algériens comme un acte outrageant, une provocation… En fait, ces files de beaux camions blancs rendent très malades les généraux algériens. Ils sont atteints de « camionnite aiguë ».
Chaque camion leur rappelle leur incompétence et acte douloureusement leur incapacité à produire, commercer et échanger avec l’Afrique… et même en dehors de l’Afrique. Ces véhicules marocains symbolisent tellement de choses ! Dynamisme de l’économie, maîtrise de la logistique, maîtrise de l’export et des circuits financiers internationaux, solidarité, échange équitable, rayonnement…
Déjà, de l’épisode d’El Guergarat le monde a gardé ces lamentables images d’ « algéro-polisariens » poussés par la junte, pour casser et arracher des morceaux de bitume de la route menant vers la frontière mauritanienne. Il fallait, pour la junte, couper la circulation civile et commerciale, entre le Maroc et la Mauritanie, y compris par le caillassage et le harcèlement constant des camionneurs.
Toujours la « camionnite aiguë » ! Elle a poussé la junte à ameuter le monde, hurlant à la « violation du cessez-le-feu ». Le Maroc n’ avait voulu que goudronner cette voie terrestre dans l’ex-zone tampon, appelée tristement « Kandahar », pour combattre la contrebande des milices algériennes.
**Le Maroc, pays de défi… ses performances et son rayonnement s’intensifient en cas d’adversité.
Les Forces Armées Royales ont fait le ménage le vendredi 13 octobre 2020. Ils ont sécurisé définitivement cette zone, à la satisfaction de la communauté internationale. Sans tirer un coup de feu… Les coupeurs de route ont détalé comme des lapins.
Le meurtre abject des camionneurs marocains au Mali s’inscrit dans ce même plan pitoyable, voué à l’échec. Il est signé par les mêmes auteurs… « Et ça tout le monde le sait » pour paraphraser un ministre algérien délirant… Au lieu de répondre sur le terrain de l’économie, du commerce, de la compétitivité … le pouvoir algérien – parce qu’il ne sait faire que ça – répond par le feu et du sang… y compris pour opprimer son propre peuple.
La communauté internationale s’est forgé une conviction définitive: d’un côté, il y a des démolisseurs, des saboteurs, des fossoyeurs dont les jours sont comptés… et de l’autre des bâtisseurs et des travailleurs.
L’Histoire est témoin que le Maroc est un pays qui relève avec éclat les défis… Il n’en est que meilleur et excellent lorsqu’il est agressé ou provoqué. Ses performances s’intensifient en cas d’adversité.