44e Sommet de la SADC au Zimbabwe: le MAE algérien pris en flagrant délit de mensonge sur la question du Sahara marocain

Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, s’est fendu samedi d’un nouveau mensonge qui a été aussitôt balayé par les faits. Alors que la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a royalement ignoré la fausse «cause sahraouie» dans le communiqué qui a sanctionné les travaux de son 44è Sommet hier samedi 17 août à Harare en République du Zimbabwe, il a pointé du «Nif» pour alléguer sans prendre les précautions d’usage qu’il y a «un accord total entre l’Algérie et la SADC sur les questions palestinienne et sahraouie». Admirez l’amalgame absurde et incroyablement cynique entre la vraie et noble cause de nos frères palestiniens, et cette imposture séparatiste que la junte algérienne continue de traîner aux « bottes » comme un boulet depuis cinquante ans. 

 

On a donc eu beau lire et relire le communiqué final du 44è Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de la SADC, -un regroupement de seize pays d’Afrique australe -, aucune mention n’a été faite à la pseudo «cause sahraouie». 

 

 

Autant dire une claque aussi historique que retentissante pour la diplomatie du dictaphone qui ne peut même plus compter sur ses anciens «alliés historiques» en Afrique australe, longtemps considérée comme une «forteresse algérienne».

Un ultime «rempart» se fissure donc à vue d’œil et, à ce rythme-là, il est sûr que ce régime failli avec son proxit séparatiste finiront par prêcher seuls dans le désert. 

L’Afrique a compris qu’il ne sert plus de rester prisonnier de discours tiers-mondistes fossilisés et qu’il était temps, grand temps, de faire preuve de pragmatisme et se mettre en phase avec les nouvelles réalités géopolitiques et avec les aspirations de ses peuples à la paix et à la prospérité.