1962, année où les dramaturges marocains -en majorité- n’en sont pas encore à la création des œuvres originales; c’est l’ère des adaptations et ce, depuis l’Indépendance.
Toutefois, les personnages, les décors et les dialogues sont marocanisés avec une volonté affichée des auteurs d’être le plus proche de leur public.
Ici, c’est « Le jeu de l’amour et du hasard » de Pierre de Marivaux adaptée et mise en scène par Tayeb Saddiki… Et ce n’est pas un hasard si c’est la grande Fatima Regragui qui lui donne la réplique dans le premier rôle féminin.