L’aéroport d’Alger -Houari Boumediene-, où a atterri le jet d’Emmanuel Macron hier jeudi 25 août, ressemblait plutôt à un souk, et c’est à peine si ce dernier pouvait placer un pied après l’autre, devant une horde de porteurs de caméras qui eux-mêmes peinaient à démêler les câbles de leurs gadgets … de quoi vraiment péter des plombs!
📌Mécontents du souk qui se déroule sous les pieds du président Emmanuel Macron, la réaction française ne s’est pas faite attendre:
« Oh *** c’est quoi ce b*** « 😂😂
➡️A en juger par la réplique humiliante, l’organisation dans l’ancien département français🇨🇵 d’algerie est à revoir pic.twitter.com/1PK0hQiUq2— Samarkand (@Samarkandy1) August 26, 2022
« Mécontents du souk qui se déroule sous les pieds du président Emmanuel Macron, la réaction française ne s’est pas fait attendre: « Oh*** c’est quoi ce b*** » », ironise la twittosphère.
« L’organisation dans l’ancien département français est à revoir », se moque-t-on encore, en réaction au brouillamini où s’est trouvé le chef de l’État français, visiblement contrarié par l’organisation désastreuse de son arrivée.
Macron aura droit à une autre surprise, quand il s’est présenté devant le pupitre pour prononcer son allocution de circonstance. Le pupitre portait cette inscription en anglais: « presidency of the republic ».
🇫🇷🇩🇿Passage censuré par la télévision algérienne.
Macron tacle avec finesse l’incompétence de Tebboune et du gouvernement algérien.
«Nous avons aussi affronté des incendies qui n’ont pas eu les mêmes conséquences humaines [..] vous savez compter sur la solidarité de la France» pic.twitter.com/7QmjMnFP9k
— Atlas 🌍 (@reaIAtIas) August 25, 2022
De quoi faire perdre son latin au chef de l’Élysée, devenu la risée de la toile!
Autre déconvenue, et elle n’est pas des moindres: Macron s’est retrouvé à la même table que des oligarques phallocratiques, de surcroît fossilisés, lors du dîner officiel qui a lui a été offert par le raïs désigné Abdelmajid Tebboune, ce qui envoie un très mauvais signal à la femme et à la jeunesse algérienne ostracisée.