PROVOCATIONS DIRECTES AU TERRORISME CONTRE LE MAROC. L’ÉTONNANT SILENCE FACE AUX GRAVES DÉRIVES ALGÉRO-SÉPARATISTES.

Les appels à commettre des actes terroristes contre le Maroc prennent des proportions alarmantes. Il y a à peu près dix jours, le dénommé Mediouni Mokhtar Saïd, ex-colonel de l’armée de l’air algérienne, ayant repris du service pour le compte d’une chaîne de télévision agréée par l’État algérien, Al Hayat. TV, avait appelé les séparatistes à commettre des attentats terroristes contre les civils marocains particulièrement à Rabat, Casablanca et Marrakech.

Le 5 novembre, le Collimateur avait épinglé ce guignol de la propagande militaire algérienne, tout en mettant en garde contre le danger que comportait cette provocation directe au terrorisme. Nous avons été consternés de constater qu’aucune action n’a été entreprise au niveau des structures partisanes, parlementaires, pour ne pas parler des preux chevaliers de la société civile.

Notre consternation a redoublé quand, sur le plateau de l’émission « Café de Presse politique », relevant d’une radio algérienne basée à Paris, « Radio_M », un certain El Kadi Ihsane, patron du site « Maghreb Émergent », a récidivé en appelant à perpétrer des attaques contre les camionneurs marocains empruntant le passage terrestre d’El Guerguarat pour approvisionner les marchés sub-sahariens en denrées alimentaires.

Et ce n’est pas tout!

Le 6 novembre 2021, un soi-disant ex-« premier ministre sahraoui » dénommé Mohamed Wali Akeik, s’était manifesté dans les colonnes du magazine britannique, « The Economist », auquel il a confié que le « polisario » projetait de s’attaquer à des « entreprises et consulats, compagnies aériennes et autres secteurs », y compris dans les provinces non sahariennes, dans le nord du Maroc!

Il est étonnant que face à de tels dérapages, condamnables par les juridictions nationales et internationales, aucune voix ne s’est encore élevée dans les sphères partisanes, parlementaires et associatives pour dénoncer, à plus forte raison agir contre ces bavures dangereuses.

Si tel était le cas ailleurs, pareilles bavures auraient soulevé des tollés dans les milieux médiatiques, politiques et associatifs. De ce côté, on est sidéré de constater que de telles dérives, abstraction faite des réseaux sociaux, passent comme « une lettre à la poste » tellement la passivité est criante et affreuse.

On s’interroge avec étonnement, voire stupéfaction, sur l’inaction de tous ceux qui sont payés par l’argent du contribuable et qui brillent, quand ce n’est pas par « un patriotisme de circonstances », par une passivité bouleversante.

Courage, dormez!