VIDÉO. PENDANT QU’ALGER ET SES MERCENAIRES FONT LES MARIOLES À GUERGARAT… VOICI LES SECRETS DU PLAN DE RIPOSTE MAROCAIN

Alors que les mercenaires d’Alger s’agitaient à Guergarat… Mhiriz et Bir Lahlou… Sa Majesté le Roi Mohammed VI présidait, à Rabat, une réunion consacrée aux énergies renouvelables. C’était jeudi 22 octobre au Palais royal de Rabat.

Pendant ce temps, une nouvelle ébruitée de la conférence co-tenue, à Rabat, par le MAE Nasser Bourita et son hôte bissau-guinéenne, Suzi Carla Barbosa, indiquait que ce pays tropical situé sur la côte atlantique d’Afrique de l’Ouest, allait ouvrir, le lendemain vendredi 23 octobre, sa première représentation consulaire à Dakhla.

Vendredi 23 octobre, cap sur Dakhla. La perle du sud marocain était  en pleine effervescence, non à cause des gesticulations séparatistes qui se déroulaient à 500 kilomètres de Dakhla. Ce jour-là, Dakhla était au rendez-vous avec trois événements diplomatiques. Non seulement la Guinée-Bissau mais aussi le Burkina Fasso et la Guinée Équatoriale allaient ouvrir leurs consulats généraux à Dakhla, portant ainsi à 5 consulats africains inaugurés dans cette ville, sans compter les 6 autres déjà inaugurés à Laâyoune.

En une année, pas moins de 11 pays africains ont ouvert des consulats généraux dans les régions Dakhla-Oued Eddahab et Laâyoune-Sakia Al Hamra.

Décryptons: le Maroc préfère l’action à la réaction à des gesticulations dignes des gangsters, des coupeurs de route, des bandits de grand chemin…

Incontestablement, c’est un message fort à Alger pour dire que ses gesticulations sont insignifiantes et que le Maroc n’obéit pas à l’agenda algérien ni à ses provocations.

Le Maroc qui a son propre tempo est une force tranquille face à un voisin brouillon, agité englué dans une grave crise.

Les messages subliminaux de Nasser Bourita…

Intervenant en marge des cérémonies d’ouverture des trois consulats généraux africains, le MAE, Nasser Bourita, a su porter les mots aux maux qui rongent la partie ennemie. « Le polisario agit selon les méthodes des coupeurs de route », a-t-il asséné (voir vidéo ci-contre).

 

 

 

 

Le Maroc, État serein et sûr de lui-même, ne saurait s’abaisser au niveau décadent des gangsters. La parade livrée par ces derniers est similaire à « la danse du coq égorgé »… plus ils s’agitent, et plus ils s’enfoncent…

Par ces agissements ridicules et pitoyables, le polisario et son mentor algérien se mettent en dehors de la légalité internationale et ont désormais affaire à l’ONU et à son instance décisionnelle, le Conseil de sécurité. 

Quant au Maroc, il est confiant et rien ne le dissuadera dans sa marche résolue vers le progrès, y compris et surtout dans ses provinces sahariennes.

Les chiens aboient et la caravane passe…