CANDIDATURE FICTIVE DU MAROC AU CDH. AGENCE DE PRESSE ALGÉRIENNE. QUAND LA PROSTITUÉE PRÊCHE LA CHASTETÉ !!

Maintenant que le voile sur le scandale de la candidature FICTIVE du Maroc au Conseil des droits de l’Homme (CDH), -fruit de l’imagination morbide du régime vert-kaki et de quelques fonctionnaires onusiens à la moralité défaillante-, s’est déchiré, que va dire la très impudique Agence de PRESQUE algérienne?

Maintenant que l’ONU a rétabli la vérité sur cette candidature marocaine inventée de toutes pièces au Conseil des droits de l’Homme, en supprimant de son site officiel un précédent article supposé dévoiler les résultats du vote du 13 octobre et où le Maroc s’est vu citer candidat à son insu et, comble de l’absurde, attribuer une seule et unique voix, face à d’autres candidats africains: le Sénégal (188 voix), la Côte d’Ivoire (182), le Malawi (180) et le Gabon (176)… que va encore dire la très insolente APS qui célébrait dernièrement « une défaite marocaine SPECTACULAIRE au CDH »?

Maintenant que la vérité a éclaté de manière SPECTACULAIRE,  que demander à l’APS et à ses maîtres galonnés, tristes symboles d’une dictature au bilan atroce en droits de l’Homme, ceux-là mêmes qu’ils utilisent indécemment aujourd’hui pour tenter misérablement d’écorner l’image du Maroc?

Ce n’est certes pas la première fois que l’APS est prise en flagrant DÉLIRE de mensonge, de désinformation et de manipulation des faits, mais son dernier procédé doit faire pâlir de jalousie la défunte Pravda, porte-voix du non moins défunt régime soviétique!

Si elle surpasse en imposture la Pravda de triste réputation, l’APS oublie  souvent les précautions d’usage à prendre quand elle met les pieds dans le plat.

« Elle s’est jetée à l’eau sans enfiler son maillot de bain », résume ce dicton populaire marocain consacré.

Du haut de quelle impudence, se permet-on alors de faire la leçon sur la question des droits de l’Homme quand son pays vit sous la chape de plomb d’une dictature militaire féroce, hypothéquant encore et toujours le droit de ses citoyens à s’exprimer, à prendre la parole, à se rassembler, à manifester… ?

Du haut de quelle insolence s’autorise-t-on à disserter sur « le droit des peuples à l’autodétermination » dès lors que le peuple algérien frère est lui-même privé de son droit à disposer de lui-même et se bat toujours pour le retour des militaires dans leurs casernes, pour instaurer un État réellement civil et populaire? 

Du haut de quel cynisme se permet-on de se piquer de pluralisme et de démocratie quand le seul et inique parti aux manettes depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962, est celui des hommes en uniforme, faiseurs et dé-faiseurs des présidents, façade civile d’une dictature qui ne dit pas encore son nom?

Que l’APS, mégaphone de cette dictature affreuse, se permette de « faire la leçon » sur la situation des droits de l’Homme chez autrui, cela revient à la prostituée (avec tout le respect dû au plus vieux métier du monde) de disserter sur la chasteté.