PROVOCATION. À L’INSTIGATION DE L’EX-JUGE BALTASAR GARZON, AMI D’ALGER ET DU POLISARIO, L’AUDIENCE NATIONALE ESPAGNOLE RÉACTIVE UNE PROCÉDURE JUDICIAIRE CONTRE TROIS MILITAIRES MAROCAINS.

L’Audience nationale, plus haute juridiction en Espagne, a réactivé une procédure judiciaire contre trois garde-côtes marocains, 7 ans après l’incident de tirs contre une embarcation en provenance de la ville occupée de Melilla, dont deux passagers -migrants illégaux- avaient trouvé la mort.

Le 27 octobre 2013, les garde-côtes de la Marine royale nationale avaient fait usage de leurs armes après que le conducteur de ladite embarcation ait refusé d’obtempérer aux tirs de sommation.

Mais passons, car le timing de la réactivation de ladite procédure judiciaire à l’encontre des militaires marocains sept ans après l’incident soulève bien des interrogations, d’autant plus que la partie qui est derrière « l’initiative » du pouvoir judiciaire espagnol n’est autre que l’ex-juge controversé Baltazar Garzon, dont les accointances avec le front polisario, le régime vert-kaki et autres Bokassa-gueule-de-loup ne sont plus à démontrer.

L’on se demande pourquoi la plus haute juridiction espagnole a accepté la demande de l’ex-juge ami des dictateurs, dont le satrape de Caracas (Venezuela), Nicolas Maduro, et refuse d’agir de la sorte pour réactiver la procédure contre le chef du polisario, qui fait depuis 2016 l’objet de plainte pour crimes contre l’humanité, perpétrés du temps où ce dernier officiait en tant que chef de « l’armée de libération sahraouie », à l’origine de crimes de guerre non seulement à l’encontre des sahraouis, mais aussi les pêcheurs espagnols enlevés et tués dans les années soixante-dix.

Baltasar Garzon, qui détient actuellement un bureau d’avocat et (de lobbying) baptisé « ILOCAD », a réussi non seulement à réactiver ladite procédure judiciaire à l’encontre des militaires marocains, il a réussi aussi – et comble de la provocation- à arracher l’émission d’un mandat d’arrestation à l’encontre des militaires marocains!!!

Une chose, cela étant, reste sûre.  Ce ne sont pas ces gesticulations dérisoires orchestrées dans les bureaux feutrés du DRS-DSS algériens qui vont plier l’armée royale marocaine qui accomplit un formidable travail dans la préservation du territoire national, la lutte contre les trafics de toutes sortes (êtres humains, drogue, etc).

Le mois d’octobre approche. Alger et ses obligés s’agitent dans tous les sens. Alger ne sait plus quoi faire pour se débarrasser des séquestrés parqués dans les camps. Elle est tombée dans son propre piège. Une grave erreur géostratégique.

La communauté internationale a tranché depuis longtemps. JAMAIS il n’y aura un 6ème pseudo État au Maghreb.

Et Alger le sait… le reste c’est de la diversion y compris pour tromper les Algériens.