La passion marocaine d’Ahlam Mosteghanemi, la « Miss » algérienne de la littérature arabe

La voix d’Ahlam Mosteghanemi, l’une des plumes féminines les plus talentueuses de la littérature arabophone, continue de trancher avec la marocophobie élevée au rang de politique dans son pays, l’Algérie. Il suffit de consulter son compte twitter pour s’apercevoir que cette écrivaine arabe pionnière ne jure que par le Maroc.

Le dernier coup de coeur de celle qui a été nommée Artiste de l’UNESCO pour la paix en 2016, a été pour « la plus grande table de ftour d’Afrique organisée vendredi 7 avril à Marrakech. « La ville de Marrakech organise la plus grande table de four caritatif  sur 500 mètres au profit de plus de 1250 personnes », a-t-elle écrit hier lundi 10 avril, en célébrant ce qu’elle a appelé « Nos merveilleuses traditions de Ramadan ».

 

 

8 jours plus tôt, l’auteure du célèbre roman « Dhakirat el jassad » (Mémoires de la chair », faisait part de sa fascination pour les prières de Tarawih au Maroc. « Voici comment sont accomplies les prières de Tarawhi au Maroc », avait-elle écrit, en postant une photo de la prestigieuse Mosquée Hassan II, à Casablanca.

 

 

« Que Dieu purifie nos coeurs, unisse nos rangs en ce mois béni, et nous rapproche de nos frères marocains dans une même prière », a-t-elle exhorté.

Avec Ahlam Mosteghanemi, nous élevons, la main sur le coeur et les yeux vers le ciel, des prières pour qu’Abdelmajid Tebboune et Saïd Chengriha reviennent dans le droit chemin et… à de meilleurs sentiments envers le Maroc.

Amen!