ESPAGNE: GRAVES DÉRAPAGES RACISTES À L’ÉGARD DES LIONS DE L’ATLAS

« L’Espagne affronte l’équipe des Nations unies », ironise « Lavanguardia », à la veille de la confrontation Maroc-Espagne en huitièmes de finale de la Coupe du monde Qatar-2022, prévue ce mardi 6 décembre au stade Education City de Doha.

Le périodique espagnol, ancien soutien du dictateur Franco, tente misérablement de mettre en doute la MAROCANITÉ des Lions de l’Atlas. « Le Maroc, avec 14 joueurs nés à l’étranger, est l’équipe qui compte le plus d' »étrangers » », se moque notre con-frère, qui a été farfouiller jusque dans l’état civil de nos valeureux Lions pour conclure que la plupart d’entre eux sont « nés à l’étranger ». Dans le cas espagnol, il a cité entre autres Achraf Hakim, Mounir Mohamedi ; néerlandais, Hakim Ziyech, Noussair Mazroui, Sofyan Amrabat et Zakaria Aboukhal; français, Sofiane Boufal, Amine Harit et Romain Saïss.

Lavanguardia a juste oublié de dire pourquoi ces vaillants lions, malgré les offres mirobolantes qui leur ont été faites ailleurs, ont choisi de défendre le pays des racines plutôt que les pays d’ »adoption ». Pour tout l’or du monde, nos enfants n’oublieraient jamais le pays des racines et ne monnaieraient jamais ce sentiment d’appartenance, cette fierté d’appartenance à leurs origines… 

Mais passons, car le périodique s’avère être un champion invétéré dans le registre des « demi-vérités ». Il a juste omis de (nous) expliquer pourquoi la « Roja » compte aussi des joueurs « étrangers », à l’instar du bissaoguinéen Ansu Fati (né le 31 octobre 2002 à Bissau), ou encore le Français Aymeric Laporte (né le 27 mai 1994 à Agen)…