« Forbidden stories », faux nez des services français, se rappelle au bon souvenir des Marocains à travers une « enquête » bidon sur une soi-disant « spoliation des terres collectives au Maroc ».
Tout d’abord, saluons (des deux mains SVP!) le don inégalable de ce pseudo-consortium de « journalistes d’investigation » pour ses choix éditoriaux ronflants et burlesques. « Prédation foncière au Maroc », a-t-il klaxonné, relayé par une certaine presse française qui s’amuse régulièrement à tirer des pétards mouillés sur le royaume du Maroc. Pegasus, droits de l’homme et… maintenant cette fictive « spoliation des terres collectives au Maroc »!
Aux auteurs des « histoires interdites » et surtout à dormir debout… champions attitrés du « moroccan bashing » et de « la moitié vide du verre », il faut néanmoins rappeler cette triste évidence historique: le problème des soulaliyates est d’abord et surtout un héritage du protectorat français.
Il est affreusement ridicule de vouloir s’ériger en donneur de leçons quand on a exploité pendant 44 ans, à sa guise et à son seul profit, les terres d’autrui… Voilà une véritable piste d’ »enquête » que les preux chevaliers de « l’investigation » n’oseraient entreprendre, il y a autant de cadavres dans les archives que de richesses pillées dans les coffres-forts de la France.
Quelle mouche a donc piqué les médias français pour fourrer leur nez dans une affaire strictement interne au Maroc?
Pas besoin d’être devin pour trouver la réponse: la Réforme des Terres Collectives. Cette réforme est de nature à engendrer un développement durable au niveau territorial, grâce au capital marocain, idée qui ne plaît pas aux médias français et à leurs instigateurs, dans leur défense de la préférence et de l’hégémonie économique française.
Voici le but caché de ce nouvel épisode de la meute anti-marocaine orchestrée en France. Les droits de l’homme ne sont qu’un faux prétexte pour attaquer une décision marocaine souveraine, qui plus est débattue en toute transparence au Maroc, au sein du gouvernement et de la société civile. Il n’y a ni « face cachée » ni « dessous sensibles », si ce n’est pour quelques associations marginales comme ATTAC.