
Isolée sur la scène politique régionale et internationale, l’Algérie qui finance le “polisario” n’hésite pas à signer des chèques ou carrément brader ses richesses fossiles pour s’offrir au moins une petite visibilité diplomatique vis-à-vis du Maroc émergent. Malgré cette diplomatie sonnante et trébuchante, elle n’a brassé que du vent. Voire. De l’opprobre. Et ce n’est surtout pas le président libanais Joseph Aouan qui nous contredira.
خلال المؤتمر الصحفي الذي أعقب لقاءهما، رئيس لبنان يقصف نظيره الجزائري بخطاب دبلوماسي في ظاهره وناريٍّ في عمقه مفاده أنه مهما حاولتَ فلن تجرني إلى لعبتك القذرة للزّج بي في قضية الصحراء المغربية وأن احترامي للوحدة الترابية للمملكة المغربية موقف لا غبار عليه pic.twitter.com/PPkMjfNKr2
— Mundo sin Filtros (@FiltrosMundo) July 30, 2025
Lors d’une conférence à Alger, où il s’est rendu hier pour une visite de deux jours “à l’invitation” de son homologue Tebboune, M. Aoun a “démoli” ce dernier publiquement, en lui précisant devant les caméras que le Liban ne s’ingère pas dans les affaires intérieures des pays arabes frères et, par conséquent, ne tolère aucune ingérence dans ses affaires intérieures. Une manière de signifier au raïs du « Titanic El Mouradia » visiblement gêné, que le pays du Cèdre ne se laissera pas entraîner dans son jeu malsain… contre le Maroc.
Bravo au président Aoun pour cette position honorable et félicitations au Liban frère pour le chèque de 200 millions de dollars et autres largesses octroyées par un régime algérien failli moralement, politiquement et économiquement.





