
Malgré l’appel du Roi à ne pas sacrifier de mouton à l’Aïd Al-Adha, les prix de la viande ovine atteignent des niveaux préoccupants. En cause, une offre réduite, aggravée par des pratiques spéculatives sur les marchés, encouragées par une poussée de fièvre acheteuse.
Le kilo de viande est ainsi vendu à 120 dirhams, voire plus dans certains quartiers populaires, une véritable saignée pour les bourses modestes. Un petit tour au marché…





