« Excellente réunion avec le Ministre Nasser Bourita lors de ma première visite au Maroc. Nous avons discuté de la coopération OTAN, la lutte contre le terrorisme et la situation de sécurité régionale », s’est réjoui le Représentant Spécial de l’OTAN pour le Voisinage Sud, Javier Colomina, à l’issue de ses entretiens, mercredi à Rabat, avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger.
Excelente réunion avec le Ministre Nasser Bourita lors de ma première visite au #Maroc comme Représentant Spécial de l’OTAN pour le Voisinage Sud. Nous avons discuté de la coopération #OTAN-🇲🇦, la lutte contre le terrorisme & la situation de sécurité régionale @MarocDiplomatie pic.twitter.com/sYkACFGuOC
— Javier Colomina (@JavierColominaP) October 16, 2024
Le Maroc demeure un “acteur incontournable” en matière de sécurité, a déclaré à la presse le haut responsable de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), qualifiant le Royaume de “partenaire très important” pour l’Alliance atlantique.
“Le Maroc est un partenaire très important pour nous. C’est un acteur incontournable lorsqu’on parle de la sécurité”, a-t-il souligné.
M. Colomina a également fait observer que le Royaume est “un acteur essentiel” en matière de lutte contre le terrorisme, mettant en avant la “coopération pratique” liant les deux parties.
En outre, le représentant spécial du secrétaire général de l’OTAN a indiqué avoir discuté avec M. Bourita des opportunités et des moyens à même d’approfondir l’excellente coopération existant entre l’OTAN et le Royaume sur les plans politique, civil et militaire, rappelant que le Maroc est membre du Dialogue méditerranéen, un forum de partenariat destiné à promouvoir la sécurité et la stabilité dans l’ensemble du bassin méditerranéen.
Il a expliqué que son déplacement au Maroc, le premier en tant que représentant spécial du SG de l’OTAN pour le voisinage sud, vise à examiner avec les “interlocuteurs importants de la région” les questions de préoccupation commune pour “essayer de chercher des solutions communes”, citant les défis liés à la lutte contre le terrorisme, la cyber-sécurité, la sécurité maritime et la migration.