Jeudi 26 septembre, le président de la République du Kenya, William Ruto, avait plaidé à la tribune de l’ONU pour la création de deux sièges permanents pour l’Afrique au Conseil de sécurité. «Il est inacceptable d’exclure 54 pays africains, qui compte actuellement 1,4 milliard d’habitants, et permettre à un seul Etat d’user du droit de veto contre les décisions de 193 membres de l’ONU», avait déclaré le président kényan, cité par l’ONU.
En évoquant le nombre de 54 pays, le Kenya, poids lourd de l’Union africaine, a planté un nouveau clou au cercueil de la chimérique « rasd » à la solde d’Alger.
Mercredi 14 septembre 2022, le pays d’Afrique de l’Est rompait ses liens diplomatiques avec l’auto-autoproclamée « rasd ». Cette rupture était intervenue à peine 24 heures après la cérémonie d’investiture de William Ruto